Investir dans les DOM TOM via le fameux dispositif Girardin, c’est profiter d’une importante réduction de son impôt sur le revenu ou encore de son impôt sur les sociétés. Pour cela, la création de sociétés en nom collectif ou SNC est incontournable.
Les sociétés en nom collectif : gestion spécifique sous contrôle rigoureux
La gestion des SNC doit être rigoureusement prise en main, compte tenu de l’existence d’importants risques dans le cadre de l’exploitation Girardin. Les missions du gestionnaire de ces SNC sont multiples, dont les principales sont les suivantes :
- la gestion des contrats de location avec les entreprises (Girardin industriel) et les exploitants des logements sociaux (Girardin IS)
- la tenue de la comptabilité de chaque SNC
- la prise en charge des dossiers juridiques pour chaque SNC
- le suivi des recouvrements des loyers versés
Un des cabinets les plus reconnus dans l’accomplissement d’une telle mission est le cabinet COFAG, 22 ans d’expérience. Celui-ci est une filiale du groupe Profina, le spécialiste de l’investissement Girardin en outremer depuis 1994. En savoir plus sur la loi Girardin, investir avec profina.
Les risques liés à la gestion des SNC par rapport au placement Girardin
Placer son argent dans un tel type d’investissement n’est pas sans risque. Non seulement du fait de la nature du placement proprement dit, mais aussi compte tenu des responsabilités de chaque associé. Ce, en fonction de la forme juridique de la société de portage créée. L’investisseur, qui devient associé de la SNC, est totalement responsable du remboursement du passif de la société. Les dettes contractées découlent en grande partie des prêts réalisés auprès de l’organisme financier, lui-même associé au sein de la SNC. Le statut de la SNC est assorti d’une responsabilité solidaire et indéfinie. Ainsi, l’associé peut être poursuivi en justice si les dettes demeurent impayées. Attention donc à bien veiller à la solidité du montage et à choisir soigneusement son monteur de dossier.
